escale à Nantes
Notre retour fut mouvementé avec les grèves.
Finalement, notre avion est parti de la Havane avec deux heures de retard. Le retour a été rapide (8h dans ce sens là) avec des écrans individuels.
Les problèmes ont commencé à Roissy puisque nos places ont été supprimées de l'avion Paris Lyon en raison de l'absence de personnel. Nous avons donc du transiter par Nantes ce qui n'est pas banal.
Après avoir posé Bernard à la gare de Grenoble, nous arriverons à Briançon avec 5 h de retard sur l'horaire initial. Nous nous en sortons bien et pensons aux passagers obligés de dormir dans l'aéroport.
Nous remercions Bernard pour ce superbe voyage.
Notre vie chez l'habitant fut vraiment un plus pour mieux connaitre les conditions de vie des cubains malgré l'absence d'eau chaude, de savon et le papier toilette dans la poubelle.
Nous n'oublierons pas l'accueil de la famille d'Ada et de Maritza.
J'avais peur au départ d'avoir été ambitieuse sur l'itinéraire mais finalement les 1700 km ont été avalées sans problème. Il faut dire que nous avions un chauffeur hors pair.
Et voilà, l'aventure s'arrête ici et il faut reprendre le boulot.........
A bientôt sur le blog pour un autre voyage.........
Peut-être du côté de Singapour où nous attendent Marco et Pascale.........
leurs photos de Borméo nous ont mis l'eau à la bouche..........
Un récit de voyages au jour le jour sans prétention pour vous faire partager des paysages et des émotions......
samedi 3 décembre 2011
La visite en calèche
Le matin, nous attendrons l'arrivée de Virginie, Laurent, les filles et Jeannine pour démarrer la visite.
Des calèches avec un guide d'état sont stationnées devant l'hôtel et nous négocions un tour de deux heures.
Ce fut une excellente façon de visiter le ville coloniale avec les apartés du guide.
Nous passerons successivement les différents quartiers avec de nombreux arrêts, notamment à un grand marché couvert où nous effectuerons quelques achats (bracelets, canne...) et à la fabrique de cigares que nous ne pourrons malheureusement pas visiter.
Pour midi, nous laisserons le guide nous emmener dans un restaurant très sombre, éclairé à la bougie pour manger la langouste.
L'après midi, pendant que Lucie et Richard retournent à l'hôtel, nous nous rendrons à la place Viéja, la place la plus rénovée de la Havane puis nous prendrons un verre au célèbre Buena Vista Club. Ensuite, Virginie s'arrêtera au musée du chocolat et nous visiterons le musée d'armement de Fidel Castro.
Nous terminerons par la Calle Obispo, rue commerçante. La fatigue se faisant sentir, nous rentrerons Bernard, les filles et moi pendant que le reste de la troupe se baladera en bici taxi.
Nous piquerons une tête dans la piscine sous les yeux de cubains habitant un immeuble très délabré avec vue plongeante sur nous.
Le soir, nous prendrons des bici taxi pour se rendre au restaurant mais malheureusement sans négocier le prix au départ...grave erreur.....! nous ferons un tour qui sera très long alors que nous ne sommes qu'à quelques pâtés de maison. La somme demandée sera aussi chère qu'une heure de visite et nous refusons de payer. Le propriétaire du bici taxi ira même jusqu'à appeler un policier qui lui réclamera sa licence.......qu'il n'a pas........d'où les détours..........
Le repas sera apprécié par les convives sauf pour Jeannine ( drôle de soupe de légumes) et Virginie (crevettes).
Les varaderiens repartirons vers 22h après une journée bien remplie.
Des calèches avec un guide d'état sont stationnées devant l'hôtel et nous négocions un tour de deux heures.
Ce fut une excellente façon de visiter le ville coloniale avec les apartés du guide.
Nous passerons successivement les différents quartiers avec de nombreux arrêts, notamment à un grand marché couvert où nous effectuerons quelques achats (bracelets, canne...) et à la fabrique de cigares que nous ne pourrons malheureusement pas visiter.
Pour midi, nous laisserons le guide nous emmener dans un restaurant très sombre, éclairé à la bougie pour manger la langouste.
L'après midi, pendant que Lucie et Richard retournent à l'hôtel, nous nous rendrons à la place Viéja, la place la plus rénovée de la Havane puis nous prendrons un verre au célèbre Buena Vista Club. Ensuite, Virginie s'arrêtera au musée du chocolat et nous visiterons le musée d'armement de Fidel Castro.
Nous terminerons par la Calle Obispo, rue commerçante. La fatigue se faisant sentir, nous rentrerons Bernard, les filles et moi pendant que le reste de la troupe se baladera en bici taxi.
Nous piquerons une tête dans la piscine sous les yeux de cubains habitant un immeuble très délabré avec vue plongeante sur nous.
Le soir, nous prendrons des bici taxi pour se rendre au restaurant mais malheureusement sans négocier le prix au départ...grave erreur.....! nous ferons un tour qui sera très long alors que nous ne sommes qu'à quelques pâtés de maison. La somme demandée sera aussi chère qu'une heure de visite et nous refusons de payer. Le propriétaire du bici taxi ira même jusqu'à appeler un policier qui lui réclamera sa licence.......qu'il n'a pas........d'où les détours..........
Le repas sera apprécié par les convives sauf pour Jeannine ( drôle de soupe de légumes) et Virginie (crevettes).
Les varaderiens repartirons vers 22h après une journée bien remplie.
jeudi 17 novembre 2011
La Havane
Nous reprenons la route pour la Havane et rejoindrons notre hôtel en à peine deux heures sans demander notre chemin. Incroyable !
Nous logeons à l'hôtel Sévilla, un hôtel colonial construit en 1880, géré par le groupe français Accor dans un style mudéjar de la ville andalouse dont il porte le nom : colonnes mauresques, mosaïques, patio....
Cet hôtel a connu de nombreuses personnalités : Joséphine Baker, Caruso, Tito, Paul Morand et même Al Capone.
Il possède une piscine bien agréable après les visites et un restaurant panoramique au 9ème étage avec piano à queue.
4 jours dans un palace
Nous retrouvons avec plaisir le reste de la famille.
L'hôtel Iberostar est vraiment superbe au milieu de jardins tropicaux.
Ici tout est à volonté même l'alcool.
Le premier jour, le temps est chaud mais avec un ciel orageux et des vagues impressionnantes qui font le plaisir des enfants. Je me retrouverai, secouée par un rouleau et un peu dénudée.......
Nous allons profiter du farniente, des buffets bien achalandés, des soirées.....
J'ai droit à un deuxième anniversaire avec des cadeaux.......dont un massage californien associé à de la réflexologie plantaire par un jeune cubain....le pied quoi............!
Même Bernard va faire son baptême de massage pour ses 70 ans et je crois qu'il y a pris goût.....
Pendant que nous profitons de la plage, il prendra la voiture pour se rendre à quelques km sur une lagune de décantation des eaux usées. Là, il sympathisera avec un employé qui lui permettra de pénétrer pour observer les oiseaux et l'invitera à boire un verre.
lundi 14 novembre 2011
Route vers Varadero
Nous allons retrouver Virginie, Laurent, Jeannine et les filles qui sont arrivés samedi à Varadero. Nous les avons aussi appeler au secours car nous n'avons plus de liquidités et n'avons trouvé aucun distributeur sur notre route.
Nous quittons Trinidad en reprenant la route côtière vers Cienfuegos. Ce choix d'itinéraire s'est fait compte tenu des déboires de Fred et Christelle, Nathalie et Martial, qui ont choisi la route de montagne (dont nous avons eu un aperçu en allant à Topes Collantès) en passant par Santa Clara.
Nous traversons de nombreux villages où la route souvent devient en terre et nous devons demander notre chemin.
Nous croisons peu de voitures et aucun touriste.
Bernard souhaite boire un café mais il n'y en a pas dans les guinguettes. Finalement une vieille dame lui propose de venir chez elle où elle a une cafetière sur le fourneau. Il lui donne en échange 2 CUC soit 1,60 € pour nous et pour elle 50 pesos ce qui représente une grosse somme.
Pour le repas de midi, nous nous installons dans un restaurant de cubains à l'hygiène douteuse et commandons deux oeufs accompagnés d'une purée de patates douces.Lorsque je demande l'addition, il m'est demandé une somme de 25 ? moi je crois que ce sont des CUC mais la fille refuse mes billets. Elle veut des pesos cubains que je n'ai pas. Un monsieur au comptoir paye pour moi et je lui donne 5 CUC soit 125 pesos. Nous avons mangé à 4 pour 4 euros et lui a gagné de quoi vivre pendant quelques temps.
L'atmosphère change au fur et à mesure que nous nous rapprochons de Varadero avec des maisons plus modernes et une circulation plus intense.
Varadero se trouve sur une presqu'île étroite tout en longueur avec une succession de grands hôtels pour les touristes.
Les cubains ne sont pas autorisés sauf s'ils travaillent sur la presqu'île.
Le contraste est saisissant pour nous et il nous faudra un peu de temps pour s'acclimater.
Nous avons relié Trinidad à Varadero en 4h30, ce qui est une bonne moyenne compte tenu des routes avec une mention pour Richard qui a assuré avec des pointes à 120 km/h.
Nous quittons Trinidad en reprenant la route côtière vers Cienfuegos. Ce choix d'itinéraire s'est fait compte tenu des déboires de Fred et Christelle, Nathalie et Martial, qui ont choisi la route de montagne (dont nous avons eu un aperçu en allant à Topes Collantès) en passant par Santa Clara.
Nous traversons de nombreux villages où la route souvent devient en terre et nous devons demander notre chemin.
Nous croisons peu de voitures et aucun touriste.
Bernard souhaite boire un café mais il n'y en a pas dans les guinguettes. Finalement une vieille dame lui propose de venir chez elle où elle a une cafetière sur le fourneau. Il lui donne en échange 2 CUC soit 1,60 € pour nous et pour elle 50 pesos ce qui représente une grosse somme.
Pour le repas de midi, nous nous installons dans un restaurant de cubains à l'hygiène douteuse et commandons deux oeufs accompagnés d'une purée de patates douces.Lorsque je demande l'addition, il m'est demandé une somme de 25 ? moi je crois que ce sont des CUC mais la fille refuse mes billets. Elle veut des pesos cubains que je n'ai pas. Un monsieur au comptoir paye pour moi et je lui donne 5 CUC soit 125 pesos. Nous avons mangé à 4 pour 4 euros et lui a gagné de quoi vivre pendant quelques temps.
L'atmosphère change au fur et à mesure que nous nous rapprochons de Varadero avec des maisons plus modernes et une circulation plus intense.
Varadero se trouve sur une presqu'île étroite tout en longueur avec une succession de grands hôtels pour les touristes.
Les cubains ne sont pas autorisés sauf s'ils travaillent sur la presqu'île.
Le contraste est saisissant pour nous et il nous faudra un peu de temps pour s'acclimater.
Nous avons relié Trinidad à Varadero en 4h30, ce qui est une bonne moyenne compte tenu des routes avec une mention pour Richard qui a assuré avec des pointes à 120 km/h.
dimanche 6 novembre 2011
soirée anniversaire à Trinidad
Nous buvons avant le repas un mojito chargé en rhum que je ne pourrais finir.
Le soir, Maritza et ses aides nous confectionnera un festin et un musicien chanteur compositeur au coffre incroyable nous accompagnera tout au long du repas.
J'ai le privilège d'une chanson dédiée : Cécilia et nous danserons avec Papy le ChaChaCha.
Lui ira jusqu'à danser une samba avec la cuisinière. C'est la fête !
La surprise sera au dessert avec un flan cubain surmonté d'une bougie d'anniversaire. C'est un super anniversaire comme celui inattendu sur le bateau en Égypte. Maritza m'offrira un éventail en palme.
Le flan est très consistant mais succulent et nous nous resservirons.
Trinidad
arnaque à la casa particular
A l'entrée de la ville, c'est là que tout a commencé.
Une cubaine à vélo nous aborde et nous informe qu'il y a des travaux et qu'elle nous emmène à notre casa.
Elle nous présente ensuite le fils soit disant de notre logeuse qui nous dit que Maritza Hernandez a reloué les chambres et qu'il nous emmène chez un autre logeur. Malgré nos protestations, il confirme.
Nous nous installons dans une maison touristique très coquette mais qui ressemble plus à un hôtel qu'à une casa particular. Ce qui m'a le plus agacé, c'est que le propriétaire me demande ce que l'on veut manger et propose un menu à 20 CUC pour la langouste alors que le tarif en casa est de 8 CUC.
Nous partons contrariés à la plage d'Ancon à 12km. En chemin nous décidons malgré le coût d'appeler Maritza. C'est Lucie tout d'abord qui brillamment dialogue en espagnol et elle nous traduit que Maritza nous attend bien.
Celle ci ira chercher un voisin irlandais pour fixer en anglais un rdv dans un hôtel voisin. Maritza nous accompagnera pour récupérer nos bagages et Richard se fera un plaisir de dire ses 4 vérités à l'usurpateur.
Nous ne regretterons pas les heures perdues et le prix de la communication car la maison de Maritza est tout simplement splendide avec un patio intérieur sur le toit rien que pour nous d'oū nous voyons la ville et la mer.
Nous promettons à Maritza de raconter la mésenventure sur Tripadvisor et le site internet des casas.
Nous repartons pour la plage d'Ancon. Nous garons la voiture au bord de la plage dans un coin désert quand surgit un gars qui nous fait ranger en épi et nous demande 2 CUC en nous montrant un badge : que faire ? On paie ! encore une arnaque.
Au parking, se trouvent des français qui attendent un taxi . L'une de nos compatriotes a des boutons énormes rouge foncé sur les jambes. Elle nous explique que ce sont les fameuses JEJENES mouches de sable dont le guide du routard nous met en garde. Il ne faut pas s'allonger sur le sable sans transat.
Nous resterons donc toute la baignade dans l"eau ce qui ne fut pas un problème tellement la mer est chaude et translucide; un régal !
Papy partira pendant ce temps à la recherche d'oiseaux.
vue sur la baie de Trinidad
Le paysage change et nous longeons la mer avant d'arriver à Trinidad. Nous décidons de faire un détour de 8 km en prenant la direction de Topes Collantès.
La route est hallucinante, très pentue et tournante. La chaussée est en tôle ondulée .
Nous nous arrētons à un poste d'observation avec une vue magnifique sur la baie de trinidad.
jeudi 3 novembre 2011
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